Article incomplet et inexact tiré des recherches d’une petite gazette sorcière concernant une étoile montante de la politique en Angleterre, Ignatio Bole l’irascible.

19 aout 1940. C’est ce jour que choisit Merlin pour faire naître dans cette demeure centenaire, le fier manoir Bole, Ignatio Charles James Bole. Son père, Edwin, n’était même pas dans le dit manoir au moment de la naissance, et ne reviendra que des jours après.

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On sait peu de choses sur l’enfance d’Ignatio, sinon qu’il jouit du confort matériel et de la large bibliothèque familiale, on encore que très tôt, il est nourri par les histoires de son père Edwin, au sujet de la quête des reliques de la mort, et de l’asservissement des moldus. L’enfant rencontrera Gellert Grindelwald, qui lui fit alors une grande impression. En 1945, le monde s’effondra pour la famille Bole. Edwin, actuel Président du Magenmagot et possible prochain ministre de la magie, est confronté à un coup dur. Son allié et mentor, Grindelwald, est vaincu par Dumbledore, qui entre temps était devenu le principal adversaire du père d’Ignatio. Ce dernier est anéanti par la défaite de l’homme en qui il croyait, et alors qu’il était respecté de tous, il doit s’exiler en France pour échapper à la justice, menée par Albus Dumbledore.

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C’est en France que grandit alors Ignatio, auprès de son père qui cherche sa vengeance par tout les moyens. C’est pendant cet exil que le caractère du jeune homme se forme, ainsi que sa mentalité. Le jeune homme suivra cependant sa scolarité à Poudlard, l’affectation étant faite à la naissance. Réparti à Serpentard, le jeune homme sera d’abord le souffre douleur des grands, à cause de la réputation néfaste de son père, et son caractère insociable. Edwin, conscient que sa cause est désormais impopulaire, s’applique à instruire son fils, quand il le récupère pendant les vacances, à l’entraîner, l’endurcir, pour lui permettre de la porter, quand lui même ne sera plus de ce monde. Ignatio sera nommé préfet puis préfet en chef, toujours reconnu comme brillant par ses professeurs. Quelques années plus tard, Edwin est réhabilité, et Ignatio, maintenant adulte, est de retour en Angleterre.

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Après des études supérieures une nouvelle fois fructueuses, Il se lance dans la politique et atterrit au ministère. Là, il grimpe aisément l’échelle. A la mort de son père, il lui succède comme Président du Magenmagot. Toute sa vie, il représenta les idéaux des sang pur en s’opposant farouchement à la politique de Dumbledore, qui était par héritage son principal adversaire en politique Anglaise. Ignatio n’aura de cesse de promouvoir les droits du sang de sorcier sur les moldus, tout au long de sa longue et respectable carrière en politique. Stratège hors pair et irascible, il a des alliés très bien placés. Vieux singe de la politique sorcière anglaise, il manque de peu le poste de ministre, passant à un doigt de dépasser le stade de son père, mais on lui préfère Cornélius Fudge, grace à une habile manœuvre de Dumbledore. Du moins, c’est ce qu’il dira. Il sera un temps écarté de sa fonction au profit de Dumbledore, mais à la mort de ce dernier, il parvient par une nouvelle habile manœuvre à revenir sur scène, et il a repris ses fonctions depuis que Voldemort est au pouvoir. Figure montante du nouveau gouvernement, il se montre impitoyable envers ses adversaires.

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Son but ? Le pouvoir. Son moyen ? Le sang. Est-il vraiment au service du plus grand bien, ou de son plus grand bien ? Personne ne le sait.

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Ignatio commence à faiblir physiquement, mais il est plus futé, plus près que jamais. L’héritage de sa maison étant assuré par son fils Lucian qu’il a lui même formé, il peut maintenant retourner ses cartes et montrer son vrai visage.

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